Les lois diverses

L’entraide

22 Si tu vois errer à l’aventure le bœuf de ton compatriote ou son mouton, ne t’en désintéresse pas ; au contraire, tu ne manqueras pas de le ramener à son propriétaire[a]. Si celui-ci habite trop loin de toi ou si tu ne sais qui est le propriétaire, tu prendras l’animal chez toi, et tu le garderas dans ta maison jusqu’à ce que son propriétaire vienne le réclamer, et alors tu le lui rendras. Tu agiras de même si tu trouves son âne, son manteau ou tout autre objet que ton compatriote aura perdu et que tu trouveras : tu n’as pas le droit de t’en désintéresser.

Si tu vois l’âne de ton compatriote ou son bœuf tomber sur un chemin, ne t’en désintéresse pas, va aider son propriétaire à relever l’animal.

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Footnotes

  1. 22.1 Pour les v. 1-4, voir Ex 23.4-5.

22 Si tu vois s'égarer le boeuf ou la brebis de ton frère, tu ne t'en détourneras point, tu les ramèneras à ton frère.

Si ton frère n'habite pas près de toi, et que tu ne le connaisses pas, tu recueilleras l'animal dans ta maison et il restera chez toi jusqu'à ce que ton frère le réclame; et alors tu le lui rendras.

Tu feras de même pour son âne, tu feras de même pour son vêtement, tu feras de même pour tout objet qu'il aurait perdu et que tu trouverais; tu ne devras point t'en détourner.

Si tu vois l'âne de ton frère ou son boeuf tombé dans le chemin, tu ne t'en détourneras point, tu l'aideras à le relever.

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